La France est effrayée par le fait qu'un foyer de peste porcine africaine soit enregistré littéralement à un kilomètre et demi de la frontière nationale, en Belgique. Afin de protéger leurs exploitations contre l'infection par un virus dangereux, les agriculteurs français ont élaboré un plan global pour empêcher la propagation du pathogène.

Ainsi, dans un avenir proche, des zones de surveillance le long de la frontière avec la Belgique seront créées. Si des sangliers sont observés dans ces zones, la partie française mettra tout en œuvre pour exterminer les animaux potentiellement infectieux.

"Nous avons également l'intention de construire une clôture d'une hauteur d'un mètre et demi et d'une longueur de 101 kilomètres, qui séparera notre pays des incursions d'animaux des foyers viraux belges", déclarent les représentants du complexe agro-industriel français. «Entre-temps, une cinquantaine de nos chasseurs contrôleront avec vigilance les zones à risques et rechercheront les carcasses mortes de verrats infectés.» Les endroits où des corps d'animaux sont découverts seront enregistrés par des vétérinaires. Et les carcasses seront envoyées dans un complexe spécial pour collecter les matières potentiellement dangereuses. »

Il est à noter qu'à ce jour, les chasseurs français n'ont trouvé aucune carcasse de sanglier morte dans la zone à risque. Et dans toute la France, pas un seul cas d'infection de porcs locaux ASF n'a encore été enregistré.